Busserole Herbe 25 g

La busserole est un remède phare contre les infections urinaires : cystites, inflammations du rein, incontinence, et en cas de calculs.

 

Availability:

491 en stock

2000CFA

491 en stock

Vertus médicinales

Sur le plan médical, le raisin d’ours est recommandé pour traiter ou prévenir des infections urinaireschroniques ou aiguës surtout dans les cas où, l’antibiothérapie n’est pas préconisée.

Cette plante est donc qualifiée d’antiseptique urinaire naturel surtout dans le cadre du traitement de la cystite.

Plante très proche de l’atoca, la busserole soigne d’autres types d’inflammations des voies urinaires dont la colibacillose, l’inflammation du rein, l’hypertrophie de la prostate suivie de pus dans les urines, l’inflammation du bassinet et de l’urètre après une blennorragie.

Plus encore, les vertus médicinales de la busserole sont connues pour soulager, les hémoptysies et l’incontinence.

Ses propriétés antibactériennes permettent de soigner la diarrhée et les pertes blanches.

D’autres affections telles que les leucorrhées, les hématuries, la rétention d’urine, les entérocolites, la dysenterie, les ménorragies et – à moindre degré – les calculs urinaires, en font également partie.

Véritables diurétiques, les feuilles de busserole agissent comme un sédatif. Elles diminuent les sensations de brûlure lors de la miction et soulagent ainsi le patient.

Bref, cet antiseptique urinaire naturel libère son principe anti-infectieux là où, son effet est nécessaire.

A noter qu’au XVIe siècle, en plus de traiter les affections urinaires, les Indiens d’Amérique se servaient également de cette plante vertueuse pour soigner plusieurs maladies vénériennes et l’obésité.

Vertus cosmétiques

En cosmétique, l’on sait que l’extrait de busserole a une action régulatrice sur la formation de la mélanine.

Ses propriétés sont donc reconnues pour estomper les taches cutanées ainsi que les imperfections du teint dues à un trop plein de mélanine.

Vertus culinaires

L’Histoire raconte que, les Amérindiens l’appelaient « kinnikinnick ». Ils consommaient la busserole fraîche, crue ou cuite.

D’une manière générale, la busserole est consommée dans les soupes et bouillons, surtout lors de la cuisson de viandes.

Dans d’autres cas, les feuilles de busserole étaient cuites dans de la graisse animale et ensuite, mélangées aux œufs de poisson.

Pour sucrer le tout, on y ajoutait du bouleau ou du sirop d’érable.

Catégorie :